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HPI / HQI, un potentiel qui emprisonne et qui limite ?

Membre de Mensa*,  je suis donc concerné par la « douance » et la « surefficience mentale ». Le domaine HQI ou HPI n’est donc pas pour moi un simple concept, ni un sujet d’étude et encore moins un fantasme, mais une réalité vécue de l’intérieur. Je sais combien cette spécificité peut parfois entraîner des difficultés, voire des souffrances qui peuvent couper un individu de ses proches, de ses projets et donc de son épanouissement personnel. 

 

 

Un HPI n’est pas uniquement une personne qui pense « particulièrement vite et bien », c’est aussi et surtout une personne dont l’esprit fonctionne différemment tant d’un point de vue cognitif qu’émotionnel. Ce fonctionnement entraîne un mode d’expression, une relation à l’autre et une perception du monde très spécifique.

Je propose donc aux personnes HQI et HPI un accompagnement qui tient compte de leurs particularités cognitives :

– une pensée précise, rapide, atypique, globale, holistique et arborescente

– un grand besoin de cohérence, de congruence et d’information

et psycho-émotionnelles :

– imaginaire riche

– besoin de sens et d’être constamment stimulé intellectuellement

– rejet fort de l’injustice

– sentiment d’être différent, incompris et seul

– perceptions fines des émotions et souvent difficultés à les exprimer

 

Ma pratique, tout en se basant sur des modèles théoriques récents, se situe dans l’esprit de la maïeutique de Socrate et favorise l’émergence du sens, de la créativité, de l’autonomie et du libre arbitre.

 

* Mensa est un club international fondé à Oxford en 1946. Il regroupe environ 110 000 membres et est ouvert à toute personne à fort potentiel intellectuel (2 % de la population)